AKRO est née à Londres où Anaïs Cresp, co-fondatrice de la marque, vit. C’est avec la complicité de son père, Olivier Cresp, que chaque fragrance s’affirme. Parfumeur expérimental, sa révolution s’appelle Angel (Thierry Mugler, 1992). Avant lui, personne n’avait osé. Fort de son expérience et de son talent, il décide de relever le défi de représenter olfactivement six addictions. De donner une odeur à la tentation, à la dépendance. C’est avec des accords puissants, des sillages marquants et un soupçon d’overdose qu’il y arrive. AKRO prend alors vit. Six fragrances. Hors du commun.

Etre Akro c’est…

  • Assouvir / Nourrir un besoin irrépressible et immédiat, en un spray.
  • Ne jamais en avoir assez. Toujours trop en vouloir.
  • Une revendication de la décadence.
  • Une quête infernale des plaisirs et des limites.
  • Perdre le contrôle, à n’en plus pouvoir. Une pulsion. Irrépressible. Olfactive.
  • Affirmer sa désinvolture. Quel qu’en soit le prix.
  • Désirer. Un rien, un tout. Une ou plusieurs fragrances.
  • S’assumer, pour ce qu’on est et ce que l’on aime.
  • Un appel à l’audace.

Les Fragrances

  • Cigarettes. Cannabis. Sexe. Chocolat. Caféine. De l’alcool.
  • Des addictions devenues parfums.
  • Mises en flacon, sans retenue ni modération. Un concentré d’excès.
  • Une échappatoire, une porte ouverte. Sur l’impertinence.
  • AKRO revendique une parfumerie obsessionnelle, dévorante et désobéissante.